La psychologue des personnes préférant rester chez eux
Si toi aussi tu en as marre d’attendre en salle d’attente, si tu as peur de croiser une connaissance en sortant du cabinet ou si tu n’as tout simplement pas le courage de te déplacer jusqu’à un professionnel de la santé : alors je suis la psychologue qu’il te faut.
Imagine pouvoir parler à une psy depuis le confort de ton canapé, sans avoir à te soucier des trajets ou des regards des autres.
Que tu sois en pyjama, en pause déjeuner ou en déplacement, je suis là pour t’accompagner, où que tu sois. Alors, pourquoi ne pas franchir le pas et commencer cette aventure ensemble ?
![Psy en ligne - Consultation à distance](https://chloevermeerschpsychologue.com/wp-content/uploads/2024/06/Psychologue-en-ligne-576x1024.png)
Quelle psychologue je suis ?
Comme vous le verrez plus bas, devenir psychologue n’était pas une évidence pour moi. J’ai souvent cherché ma voie professionnelle en me basant sur les conseils de mon entourage, les notes de mes bulletins scolaires ou les remarques de ma conseillère d’orientation.
Dès ma licence de psychologie, j’ai ressenti une soif de savoir, une envie d’apprendre sur tous les sujets, ce qui a rendu le choix d’une spécialisation frustrant. Oui, même en psychologie, il faut choisir une direction, une spécialisation.
Lors d’une conversation avec un intervenant pendant un cours à l’université, j’ai découvert la psychologie du développement et la diversité des thématiques qui y sont associées. La psychologie du développement se concentre sur la compréhension de la croissance et du changement tout au long de la vie. Un psychologue du développement doit comprendre l’impact de l’environnement sur le développement d’un bébé, d’un enfant, d’un adolescent et même d’un adulte. Cela inclut des domaines variés comme le développement cognitif, social, émotionnel et physique. Je suis donc partie vers cette direction lors de mon master et je ne regrette pas ce choix !
Au fil de mes stages en institutions (écoles, maternelles, hôpitaux de jour, cellules d’urgence), j’ai remarqué que je ne voulais pas me limiter au développement de la personne même si ce domaine reste large et riche en connaissance. Je souhaitais intégrer des éléments de psychanalyse, de neuropsychologie et de psychologie sociale. Pourquoi ? Parce qu’accompagner une personne en se réduisant à un seul champ de lecture me semblait illogique et surtout impossible. J’ai besoin d’une vision globale de la situation d’une personne pour l’accompagner dans sa totalité.
Me voilà donc psychologue du développement avec une approche intégrative. La psychologie intégrative combine diverses méthodes et théories pour créer un plan de traitement personnalisé pour chaque patient. Elle repose sur l’idée que chaque individu est unique, et qu’une seule approche ne peut pas répondre à tous les besoins. En combinant des techniques de la thérapie cognitive-comportementale, de la psychanalyse, de la thérapie humaniste, de la thérapie systémique et d’autres, je peux offrir un soutien adapté à chaque personne que je rencontre en consultation.
- Silencieuse
- Passive
- Jugeante
- Bloquée sur votre passé
- Magicienne: je n’ai pas de solution miracle
- Bavarde
- « Enseignante » car je donne des devoirs, exercices à la maison
- Curieuse de connaître votre vision des choses
- Développementaliste : je m’intéresse à votre hier, aujourd’hui et demain
- Toujours à la recherche de votre bien-être
Comment je suis devenue psychologue ?
Depuis mon enfance, j’ai toujours été anxieuse, et plus je progressais dans ma scolarité, plus mon anxiété évoluait. Cela a commencé par de l’eczéma, puis des maux de tête, des maux de ventre, des troubles du sommeil avant les examens, pour finalement aboutir à une crise d’angoisse sur les marches de mon lycée l’année du bac. Je me souviendrai toujours de cette crise et de mon passage aux urgences. C’était la première fois qu’un adulte confirmait que j’étais anxieuse et que ce que je ressentais n’était ni « normal » ni commun à tous.
Avec mon anxiété et mon bac en poche, j’ai postulé dans diverses filières, dont la fac de psychologie. Je n’avais aucune attente particulière ni idée précise de pourquoi j’étais là.
J’ai donc réalisé que mon anxiété était fréquente. J’ai essayé de la comprendre et de l’accepter du mieux que je pouvais en effectuant des recherches dans mon coin. Pourquoi je n’ai pas demandé de l’aide ? Je ne savais pas où me tourner ni qui contacter… De plus, j’étais convaincue de plusieurs choses: je peux y arriver seule, personne ne peut me comprendre, c’est la honte d’avoir peur d’une mauvaise note etc.
Avec le recul, j’étais pas sur les bancs de la fac de psycho pour rien !
Mes études de psychologies m’ont permises:
- De me sentir utile
- D’apprendre sur mon anxiété (et de consulter)
- De comprendre mon entourage et les autres
- Mieux écouter mon petit frère, qui a vécu du harcèlement, une phobie scolaire, et un HPI incompris
Très rapidement, j’ai souhaité offrir aux autres la bienveillance que j’aurais aimé recevoir en grandissant, et que mon frère ou mes parents auraient méritée pendant une période difficile.
Encore aujourd’hui, je mets tout en œuvre pour être la personne qui offre un soutien supplémentaire, une écoute différente.
Tout le monde à le droit d’être entendus et reconnus !
Mes valeurs
L’écoute
Une qualité essentielle pour tout psychologue, car elle constitue la base de toute communication entre deux personnes. Un(e) psychologue est formé à pratiquer une écoute active, attentive, bienveillante, sans jugement et centrée sur la personne. Ainsi, mon rôle n’est pas de penser à votre place, mais de vous aider à exprimer vos sentiments pour que vous trouviez vos propres réponses.
L’empathie
Nos réactions, nos comportements et nos interactions avec les autres sont influencés par nos émotions et nos pensées. Ainsi, ressentir de l’empathie de ma part est crucial pour vous montrer que je comprends vos sentiments, vos paroles et votre expérience, tout en conservant ma propre perspective. En effet, l’empathie se définit comme la faculté d’une personne à reconnaître les émotions et les ressentis d’autrui.
La collaboration
Votre engagement et votre participation pendant nos sessions nous permettront de collaborer ensemble pour votre bien-être. Lors du suivi d’un enfant/adolescent, le consentement des parents est essentiel.
Cependant, malgré ma collaboration avec les parents, les discussions avec l’enfant/l’adolescent demeurent confidentielles et sont protégées par le secret professionnel.
La confiance
Rencontrer un psychologue et se confier peut être une démarche complexe. Ainsi, établir un lien et un espace de confiance est essentiel pour entamer le travail thérapeutique. Bien que la construction de cette relation puisse prendre du temps, elle est primordiale. Des recherches soulignent que la qualité de l’alliance thérapeutique est un facteur clé de succès en psychothérapie.